La Biosphère de l'architecte Richard Buckminster Fuller, sur l'île Sainte-Hélène, symbole d'Expo 67.

Journée automnale sur le mont Royal.

Dans une ruelle du Plateau Mont-Royal.

Le monument Sir George-Étienne Cartier, parc du Mont-Royal.

Les rapides de Lachine et l'île aux Chèvres.

Des parents attentifs pendant une partie de baseball entre enfants.

Pont Jacques-Cartier.

La tour de l'Horloge captée pendant une tempête hivernale.

Une tempête hivernale estompe le monument à Maisonneuve et la façade de la basilique Notre-Dame, sur la place d'Armes.

Rapides de Lachine, -23°C.

Perspective sur la basilique Notre-Dame.

Le centre-ville de Montréal aperçu entre les « pattes » de L'Homme, sculpture monumentale créée par Alexandre Calder à l'occasion de l'Expo 67.

La Biosphère.

Le lever du soleil éclaire les édifices du centre-ville de Montréal par un matin glacial.

Pont Victoria.

La tour du siège social de la Banque Nationale du Canada.

Le canal de Lachine avant le lever du soleil.

La finale de l'International des Feux Loto-Québec, observée depuis le pont Jacques-Cartier, fermé à la circulation automobile pour l'occasion. Ce concours pyrotechnique illumine le ciel de Montréal chaque été.

Un surfeur profite des dernières lueurs du jour pour glisser sur la « vague à Guy », une vague permanente des rapides de Lachine.

À Verdun, la surface du réservoir de l'aqueduc est suffisamment vaste pour la pratique du kite buggy… urbain!

Ceci dit, le site n'est probablement pas recommandable aux débutants, car il vaut mieux ne pas rater ses virages aux limites du terrain…

Sur le canal de Lachine.

Au pied de la croix du mont Royal.

Au cœur du quartier gai, 180 000 boules colorées forment un saisissant arc-en-ciel au-dessus de la rue Sainte-Catherine. L'œuvre de l'architecte paysagiste Claude Cormier a été en place de 2011 à 2019.

À propos des auteurs

De plus en plus, je m'intéresse aux lieux plus qu'aux paysages. Au-delà de l'attrait esthétique, ce sont les usages évidents ou cachés des lieux, leurs histoires passées ou futures, qui susciteront mon intérêt. Cette étincelle m'est indispensable et explique probablement pourquoi je pratique relativement peu la photographie au quotidien. L'étincelle ne peut s'allumer que lorsque je mets tout le reste de côté pour m'abandonner à la photo, en me laissant porter par le moment présent.

J'ai mille projets photographiques en tête, mais je ne les réalise jamais car une fois le repérage et la réflexion faits, une partie de la motivation est déjà consommée. Je préfère la démarche plus spontanée, où je passe en «mode photo» et me laisse inspirer par ce que je découvre. Ainsi, s'il émerge parfois des ensembles cohérents parmi mes images, ceux-ci s'avèrent le plus souvent accidentels! Je n'ai rien contre l'approche calculée, au contraire j'admire ceux qui la pratiquent, mais ça ne marche pas pour moi, peut-être parce que je dois déjà faire amplement preuve de discipline et de patience dans les sphères professionnelles de ma vie. J'exige de la photographie qu'elle me fasse rompre avec mon quotidien.