Un regard sur les premiers rapides de la chute du Neuf.

Graffitis sur les rochers, aux abords de la chute du Neuf.

Le dernier saut de la chute du Neuf, vu depuis le pont qui enjambe la rivière Batiscan à Notre-Dame-de-Montauban.

Restes d'installation minière à Montauban-les-Mines.

Débris au pied de la chute du Huit, incluant les restes d'un réfrigérateur.

Dans la forêt aux abords de la rivière Batiscan.

Bulles figées dans la glace, près de la chute du Huit.

Chemin près de la rivière Batiscan.

Carrière abandonnée, à Montauban-les-Mines.

Chute du Neuf.

Chute du Neuf.

Décorations de pelouse, à Notre-Dame-de-Montauban.

À propos des auteurs

De plus en plus, je m'intéresse aux lieux plus qu'aux paysages. Au-delà de l'attrait esthétique, ce sont les usages évidents ou cachés des lieux, leurs histoires passées ou futures, qui susciteront mon intérêt. Cette étincelle m'est indispensable et explique probablement pourquoi je pratique relativement peu la photographie au quotidien. L'étincelle ne peut s'allumer que lorsque je mets tout le reste de côté pour m'abandonner à la photo, en me laissant porter par le moment présent.

J'ai mille projets photographiques en tête, mais je ne les réalise jamais car une fois le repérage et la réflexion faits, une partie de la motivation est déjà consommée. Je préfère la démarche plus spontanée, où je passe en «mode photo» et me laisse inspirer par ce que je découvre. Ainsi, s'il émerge parfois des ensembles cohérents parmi mes images, ceux-ci s'avèrent le plus souvent accidentels! Je n'ai rien contre l'approche calculée, au contraire j'admire ceux qui la pratiquent, mais ça ne marche pas pour moi, peut-être parce que je dois déjà faire amplement preuve de discipline et de patience dans les sphères professionnelles de ma vie. J'exige de la photographie qu'elle me fasse rompre avec mon quotidien.