La cathédrale de Cologne, là-bas simplement appelée le « Dom », vue à travers la voûte vitrée de la gare centrale.

Un ouvrier s'affaire à des travaux de rénovation sur l'imposante cathédrale de Cologne.

Construite à partir de 1248 pour abriter les reliques des trois rois mages et recevoir de nombreux pèlerins, l'immense cathédrale de Cologne fut complétée seulement en 1880. En restant fidèles aux plans d'origine, ses bâtisseurs successifs réalisèrent l'un des plus fantastiques chefs-d'oeuvre de l'art gothique.

Quatorze bombes s'abattirent sur la cathédrale durant la seconde guerre mondiale, détruisant complètement la voûte, mais épargnant notamment les vertigineuses tours, hautes de 157 mètres. Le monument ne fut complètement restauré qu'à la fin des années 50.

Les alentours de la cathédrale ne furent pas aussi bien restaurés, la plupart des bâtiments originaux ayant été remplacés après la guerre par des édifices commerciaux inintéressants…

L'un des portails de la cathédrale de Cologne.

Plusieurs visiteurs ont laissé leur marque en haut de la tour ouest de la cathédrale de Cologne.

Un monument de l'église St. Maria im Kapitol, à Cologne.

Dans la brume à l'aube, le château de Cochem se donne un air sinistre.

Le Burg Eltz, l'un des châteaux médiévaux les mieux préservés d'Allemagne.

Détails de l'une des façades du Burg Eltz.

Sur le sentier entre le Burg Eltz et le village de Moselkern.

À propos des auteurs

De plus en plus, je m'intéresse aux lieux plus qu'aux paysages. Au-delà de l'attrait esthétique, ce sont les usages évidents ou cachés des lieux, leurs histoires passées ou futures, qui susciteront mon intérêt. Cette étincelle m'est indispensable et explique probablement pourquoi je pratique relativement peu la photographie au quotidien. L'étincelle ne peut s'allumer que lorsque je mets tout le reste de côté pour m'abandonner à la photo, en me laissant porter par le moment présent.

J'ai mille projets photographiques en tête, mais je ne les réalise jamais car une fois le repérage et la réflexion faits, une partie de la motivation est déjà consommée. Je préfère la démarche plus spontanée, où je passe en «mode photo» et me laisse inspirer par ce que je découvre. Ainsi, s'il émerge parfois des ensembles cohérents parmi mes images, ceux-ci s'avèrent le plus souvent accidentels! Je n'ai rien contre l'approche calculée, au contraire j'admire ceux qui la pratiquent, mais ça ne marche pas pour moi, peut-être parce que je dois déjà faire amplement preuve de discipline et de patience dans les sphères professionnelles de ma vie. J'exige de la photographie qu'elle me fasse rompre avec mon quotidien.